10.21.2007


Nada me resta
senão abrigar esta saudade
que veio em laços de fita
e papel de seda.
Hei de polir seus desvãos
não como desdita
mas aguilhão e labareda
para toda poesia
que se acercar de mim.

1 Comments:

Anonymous Anônimo said...

Ô bien-aimée, quels yeux tes yeux
Embarcadères la nuit, bruissant de mille adieux
Des digues silencieuses
Qui guettent les lumières
Loin… si loin dans le noir
Ô bien-aimée, quels yeux… tes yeux
Tous ces mystères dans tes yeux
Tous ces navires, tous ces voiliers
Tous ces naufrages dans tes yeux
Ô ma bien-aimée aux yeux païens
Un jour, si Dieu voulait
Un jour… dans tes yeux
Je verrais de la poésie, le regard implorant
Ô ma bien-aimée, quels yeux… tes yeux
loin, si loin dans le noir

9:34 PM  

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